Bazar de luxe VS tendinite haut de gamme

 

Oyé, Oyé, braves gens !

 

 

En cette période de Noyel,  figurez-vous que ces deux dernières semaines, j'ai été physiquement incapable de faire les boutiques pour trouver mes cadeaux !

Oui, oui ! Rappelez-vous je vous parlais de la fête des Lumières, eh bien, cette fameuse journée, je me suis fait une méchante tendinite.

Aux deux pieds.

Ouais.

Avec mes petites bottes Zarantes que tout le monde a.

Donc méfiez-vous, ce sont des bottes qui tuent. (Et depuis deux semaines, je marche sur la pointe des pieds car c’est comme ça que j’ai le moins mal (je ne vous raconte pas comme j’ai l’air stupide en ville)).

 

 

Bref, tout ça pour vous dire, que si comme moi vous êtes obligé(e) de vous restreindre sur les longues après-midi shopping, (ou si comme moi, vous n’avez pas envie d’être trop ridicule à boiter dans les magasins), vous faîtes sûrement du shopping virtuel. (quel bonheur que cette dangereuse  illusion de recevoir un cadeau quand on ouvre le colis (qu’on a payé) ! N’est-ce pas ?)

Je suis sûre que comme moi, vous connaissez un paquet de sites qui nous permettent de faire les feignasses,  bien au chaud chez nous (d’ ailleurs je vais rallumer le chauffage), mais connaissez-vous BazarChic ?

 

Décryptage du truc :

 

Chic : oui, c’est le mot, puisque le site propose beaucoup de grandes marques de luxe plutôt connues dans l’univers  impitoyable de la blogosphère, telles que Maje, Zadig et Voltaire, Vanessa Bruno, Bash. Vous mentiriez si vous me disiez que vous n’avez jamais entendu parler de ces marques-là (qu’en général on ne trouve pas en dehors de Paris, si je puis me permettre, mais c’est bien connu, nous les provinciaux… enfin je me comprends !)

 

Bazar : bon, là, sur le coup, je dois dire que je ne suis pas sûre du sens du mot. A mon sens, ce site est loin d’être un grand bazar. Des ventes régulières et éphémères, un design épuré, sobre mais classe, une bonne ergonomie en termes de  « surf ». Effectivement, on y trouve de tout, le mot bazar vient probablement de ce fait. Des fringues, des chaussures, de la déco d’intérieur.

Tout est classé en catégorie, de collection, de matière, vous êtes sûrs de ne pas vous tromper, c’est l’avantage. C’est un bazar, mais ce n’est pas un gros bordel, qu’on se le dise.

 

Il  y a déjà un nombre incalculable de sites de ventes privées, mais je dois bien dire que celui-là est sûrement un de mes préférés.

 

En ce moment vous trouverez une vente Zadig et Voltaire avec ces quelques petits trucs très mignons pour moitié prix :

Robe 61 euros

 

Jupe 53 euros

Ballerines 58 euros

Et pour mon p’tit frère pour qui je n’avais pas d’idées de cadeau :

 

61 euros

 

Tchôôô le beau gosse, j’ai envie de vous dire.

  

Parmi les articles de la vente Upla, quelques jolis sacs:

 

Et bientôt, une vente Scarlet Roos, enfin moi, je dis ça, je dis rien...

 

Bref, un site qui se veut sélectif en termes de qualité, qui nous propose souvent une super sélection de marques, le fin du fin des marques dites « haut de gamme  ».

Si ça vous intéresse et que vous souhaitez vous inscrire, envoyez-moi un petit mail pour que je vous parraine :

[e-mail]

 

Voilà, moi c’est la solution que j(e n’) ai (pas) choisi pour faire mes courses de Noël, en cette période de crise pédestre et financière,  je ne pouvais pas échapper aux ventes privées.

Je ne rigole pas, j’ai vraiment les pieds en compote (mes copines pourront attester)… Alors, la folie des grands magasins, cette semaine, je vais éviter  …

Je fais du shopping sous ma couette (merci le Wifi !), c’est-y pas merveilleux ? (c’est d’ailleurs peut-être ça qui manquait à l’inauguration du H&M, la dernière fois, en plus d’un porteur, une couette, ça aurait été super !)

 

Un de ces 4 je devrais normalement enfin récupérer mon trépied, je sais que je vous dis ça depuis plus d’une semaine, au pire sous le coup de la torture, celui qui me l’a emprunté devrait me le rendre. :D Je vous préparerai donc en principe une série de looks avec mes derniers achats du moment, et en prime dans leur habitat naturel qu'est la maison de mes parents à la campagne !

Des bises !

 

 

 

Article sponsorisé

Purple Velvet

 

Le dernier article de la jolie Zoé m’a (re)donné envie de vous parler de ma robe Deby Debo.

 

Oui, j’avais promis que je vous la montrerai, estimons-nous heureux, je vais le faire avant le déluge.

Yeehaa.

Elle est vraiment trop belle. Je dis « trop », car elle reste (malgré mes tentatives) difficilement portable au quotidien.

Superbe en soirée, allez l’assumer de jour, et vous m’en direz des nouvelles. Avalanche de froufrous, couleur pétante (en violet chez moi, en vert chez Zoé), petits boutons délicats, légèreté, overdose de tissu.

Je lui ai trouvé un copain de jeu, mon nouveau chapeau.

 

(Alors, soyons clairs, NON, je ne porte de pas de bas avec une petite culotte sous ma robe. C’est un pur effet du flash. Soyons clairs.)

 

Non je ne devrais pas dire « nouveau », je vais me faire taper sur les doigts. On m’a toujours répété que j’ai une tête à chapeau. Mais je n’y arrive pas.

Celui là, j’en avais envie depuis un certain temps déjà.  Je suis passée devant chez H&M en faisant mon shopping cadeaux de Noyel, j’me suis dit : « Ma fille, c’est maintenant ou jamais… (Au pire, tu le refileras à ton frangin)(Autrement dit, adieu chapeau, ton frère ne le portera pas plus que toi, vilaine timide !) »

Ouais je me dis des trucs comme ça, parfois.

Donc finalement, j’l’ai acheté et advienne que pourra.

Et pi voilà.

Bref, revenons à nos moutons, la robe.

Je pourrais la porter façon petite minette, avec mes Melissa, histoire de faire plaisir à Jahzz, par exemple…

 

 

J'ai quand même envie de la dédramatiser. J’adore ça, moi, dédramatiser.

Et pi, c’est mon blog, j’fais ce que je veux, et alors moi je dis, il bluffe, hop une ceinture à clous et des gros godillots, vive le rock. Oui Madame.

 

Bon et puis comme vous pouvez le voir sur la photo où je ne porte ni bas ni culotte, mais bien des collants bien opaques taille haute, cette robe est quand même vachement laaaarge. Une vraie toile de tente. Dis donc.

Donc à mon sens, il vaut mieux la ceinturer.

Je cherche encore comment l’accessoiriser d’autres façons, si vous avez des idées…

 

Sur ce, je retourne à mes valises, je pars demain en vacances. Ca va me faire un bien fou, mais je ne vous abandonne pas pour autant, j’ai bien l’intention de  vous emmerder  poster  encore en cette fin d’année.

Des bises.

Modasseries du samedi

Ravie que ma petite playlist faite avec amour vous ait plu ! Ce sont tous des morceaux que j’aime beaucoup, même ceux que je trouve « fermés ». Vous avez peut-être également constaté le changement de ma bannière, c'est le cadeau de mon  amie Léa, dont vous pouvez d'admirer le travail ici.

 

Mais, rooh, je suis incorrigible, décidement. Je néglige l’aspect mode de ce blog.

J’ai eu pas mal de boulot, cette dernière semaine avant les vacances. De nouvelles matières à découvrir juste avant les partiels, pas mal d’exposés en groupe, et quelques difficultés à nous concentrer et à parler boulot avec les membres de mon groupe.  Le manque de fric aidant, il faut bien l’avouer, j’ai eu un peu de mal à faire un article de mode. Cela dit, j’ai tout de même fait quelques petits achats. A hauteur d’un achat pour moi pour un cadeau acheté à un membre de ma famille pour Noël. Je sais, c’est mal. Mais je me suis fait plaisir.

Voici une compilation (à l'arrache) des mes derniers looks de la semaine, histoire de patienter en attendant que je reprenne mes esprits (et que je fasse un billet digne de ce nom) !

 

Gilet à sequins Dorothy Perkins, slim sans marque, boots Zara, t-shirt H&M

Chapeau H&M Men

Jupon H&M, ceinture gothique de mon ex, bottes Zara, t-shirt H&M

Robe Zara Kids, bottes Jonak

Veste en laine Casy's

Mon look du jour

Jupe Jennyfer, pull Zara, bonnet H&M

 

Il faut aussi que je vous parle de mon dernier achat dont je suis vraiment ravie.

Vous avez sûrement déjà croisé ces fameuses petits bottines en daim de chez Zara, qui coûtent 109 euros, et sur lesquelles je bave depuis quelques semaines.

Il y a une boutique à Lyon, qui fait des chaussures de chinois en plastoc. C’est cheap, mais parfois, en cherchant bien, on trouve des perles, et qui en plus d’être sympas, tiennent la route. (j’en veux pour preuve, mes low boots marron en synthétique, achetées il ya 3 ans et portées un nombre incalculable de fois, n’ont pas un pet’, et je n’en ai que des compliments)

J’y ai donc trouvé un dérivé à mes rêveries, un palliatif à la déception de ne pas pouvoir m’offrir les Zara même si je gagnais au Loto, en gros, une copie presque conforme, pour 34,90 euros.

Je n’allais pas les laisser passer, m’enfin ! Vous voyez la différence, vous ?

 

Qu’en pensez-vous ?

A très vite.

 

 

"Le phénomène des Frissons"

Ou mes lubies musicales.

Aujourd'hui si vous le voulez bien, je vais vous parler musique. Parce qu'elle tient une grande part dans ma vie, même si moi-même je ne suis pas musicienne (je regrette bien maintenant, à 23 ans, d'avoir envoyé bouler ma mère qui voulait m'inscrire au piano !)

Il y a un certain type de musiques ou de chansons pour lequel j’ai une attirance automatique et immédiate.

D’ailleurs quand j’essaie d’expliquer ça à des amis, je passe toujours pour une folle à lier : « Bon sang, Camille, t’es vraiment névrosée ! Pourquoi tu te prends la tête à penser à des trucs pareils ?? »

Je n’y peux rien, ça m’occupe quand je suis dans le train, ce genre de réflexion hautement « philosophique » sur la musique que je suis en train d’écouter.

Ce type de musique-là, celui qui me fascine, je ne crois pas qu’il y ait un véritable nom pour l’expliquer.

Du coup je vous ai préparé une petite playlist pour figurer mes idées.

C’est un peu comme voyager en train. On colle son front à la vitre (préalablement essuyée, sinon berk caca). On laisse son esprit divaguer et son regard porter sur les rails. Les yeux suivent chacun des poteaux que l’on croise.

Je ne sais pas si vous avez déjà vu le clip de Starguitar des Chemical Brothers, mais c’est exactement CA. Chaque poteau donne le rythme, chaque élément du paysage donne un son qui compose la musique.

 

C’est un rythme qui démarre très faiblement, et le son augmente, et les basses s’intensifient, et d’autres rythmes viennent s’insérer dans la chanson… Ca monte en intensité. Sans jamais redescendre de toute la durée du morceau. C’est en général assez intense pour me laisser complètement essoufflée à la fin de la chanson.

Lorsque j’écoute ce type de musique bien particulière, une image me vient vite à l’esprit. Souvent en rapport avec des scènes de films, mais c’est sûrement parce que j’imagine toujours ma vie comme dans un film et les musiques que j’écoute sont un peu ma soundtrack à moi.

J’imagine que je suis aux commandes d’un hélicoptère qui survole la mer. Vous savez, cette image clichée à la fin des films de guerre, l’hélicoptère qui vient récupérer les survivants, qui s’envolent sur fond de soleil couchant, au dessus de la mer. (un peu comme la scène finale de Profession Profiler avec Christian Slater (excusez les références cinématographiques un peu pathétiques), ou Apocalypse Now)

J’ai donné un nom à cette idée-là, parce que je suis névrosée, mais surtout parce que je ne suis pas musicienne.

J’appelle ça un morceau avec « ouverture ».

Pour exemple, les morceaux suivants sont pour moi des morceaux « avec ouverture » :

 

Découvrez Bronski Beat!

Découvrez Cary Brothers!

Découvrez Coldplay!

Découvrez Grand Tourism!

Découvrez Muse!

Découvrez Various Artists - Costes!

Découvrez DeVotchKa!

Découvrez DJ Shadow!

Découvrez Fatboy Slim!

Découvrez Gorillaz!

Découvrez Nelly Furtado!

Découvrez Ozark Henry!

 

Deux que j’aime particulièrement et qui illustrent bien mon propos:

 

Découvrez Sébastien Tellier!

Découvrez Cassius!

 

Ceux-là, au contraire, n’en sont pas :

Découvrez Erykah Badu!

Découvrez Hushpuppies!

Découvrez Gym Class Heroes!

Découvrez Juanes!

Découvrez Keren Ann!

Découvrez Lily Allen!

Découvrez M.I.A.!

Découvrez Ne-Yo!

Découvrez Primal Scream!

Découvrez Psapp!

Découvrez Regina Spektor!

Découvrez Sean Lennon!

Découvrez The Long Blondes!

Découvrez Tryo!

Découvrez 10cc!

 

 

Certains groupes ont, j’ai bien l’impression fait de ce type de musique entraînante, leur marque de fabrique.

Je pense bien sûr forcément à mes deux groupes préférés-de-la-life-que-je-les-aimerai-pour-toujours-et-forever, j’ai nommé, Coldplay et Arcade Fire.

Il y a un morceau en particulier chez Arcade Fire que je trouve tellement… et tellement… Je le trouve tellement beau que je n’ai pas vraiment de mots pour le décrire de façon tout à fait objective.

C’est bien simple, cette chanson me fait pleurer à chaque écoute. C’est automatique. Je mets le volume à fond la caisse. Ca commence par des frissons sur les bras et dans le cou à cause des violons. Ensuite mes mains se mettent à battre le rythme. Puis j’entre en trance, je suis un chef d’orchestre (et là, à ce moment précis, c’est même plus la peine de me parler, je n’écoute plus rien d’autre). Et après, pof, inévitable, automatique et sûrement pour quelques années encore, je pleure.

Tellement que c’est beau.

Ca s’appelle No cars go, d’Arcade Fire et c’est tout de suite :

 

Découvrez Arcade Fire!

 

Cette intensité croissante, moi ça me file des frissons, surtout le volume à fond.

Je pense aussi à Bjork, qui est très douée également dans ce genre de « frisson musical », notamment avec cette chanson-ci :

 

Découvrez Björk!

 

Ou celle-là, d’autant plus intense d’ailleurs:

Découvrez Björk!

 

Play Dead, c’est un peu le commencement de ce goût prononcé, je crois. En tous cas, c’est avec cette chanson-là (et là, lecteur, un scoop sur mes névroses en exclu pour toi) que j’ai commencé à danser toute seule dans le noir avant d’aller me coucher. Et oui. Tous les soirs depuis que j’ai 13 ans. Le walkman, puis l’ipod, à fond les ballons, dans ma chambre, dans le noir. C’est moi le chef d’orchestre. Je balance mes bras dans le vent, je hurle en silence. C’est un secret, mais finalement je n’ai pas honte du tout. J’ai trouvé un excellent moyen de contrôler mon cœur, de me défouler sans faire forcément du sport. De faire du sport sans me confronter au regard des autres dans un banal cours de danse. Et de m’endormir. J’assume. Mais je vous le dis, c’est un scoop, il doit y avoir que ma coloc pour savoir ça. Je crois que je serai bien malheureuse de ne plus faire ça quand je vivrais avec mon homme (oui je ne désespère pas, y en aura bien un, un jour, pour accepter de faire ça pour moi :D )…

 

Attention, les morceaux ne sont pas forcément « joyeux » ou super instrumentalisés, la majorité des chansons des Doors me font le même effet (et que dire de ce que je ressens quand je les entends dans un film)

 

The Doors - Riders On The Storm (Video)
envoyé par mumu

 

 

En attendant, je continue à n’écouter pratiquement que ce genre de musique-là. Ce n’est pas que je n’apprécie pas les morceaux dits « fermés », mais sincèrement ils me séduisent automatiquement moins. Je dis automatiquement, car après une observation de longues années, j’en suis arrivée à cette conclusion.

Ne vous moquez pas. Mon discours est depuis des années très réfléchi sur ce que j’appelle le « phénomène des frissons ». J’invente les noms, mais certainement que le jargon professionnel musical a un petit nom pour ça. Je préfère garder mes petits noms à moi. Au moins comme ça, je m’approprie totalement la musique que j’écoute.

Et je me fais mon petit film à moi, dans ma tête.

J’espère que vous captez un peu ce que je veux dire dans ce billet, et que de vrais musiciens ne viendront pas se payer ma tête :D  Cela dit s’il y a un terme précis pour décrire ce « thème » qui me fait tant frémir de plaisir, je suis toute ouïe (oui ?) !

Et vous ? Y avez-vous déjà réfléchi ? Est-ce un style musical qui vous interpelle ? Vous indiffère ?

 

 

 

 

Un petit vote si mon article vous a plu :

Décès d'une icône

 

Juste un petit mot, car je le découvre tout juste.

La très célèbre pin-up américaine des années cinquante, Betty Page,  qui a fasciné plus d'un homme et inspiré plus d'une femme (dont mon idole Dita Von Teese), est décédée jeudi 11 décembre des suites d'une attaque cardiaque, à l'âge de 85 ans.

C'était une icône, à mon avis, au moins aussi importante que Marilyn Monroe

Autrement plus sulfureuse, connue notamment pour ses photos fétichistes, ses expériences de bondage

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Elle n'a pas eu une vie très facile (son père ayant abusé d'elle après sa sortie de prison pour avoir mis enceinte une jeune fille de 15 ans), son passage de deux ans en orphelinat, sa mère ne pouvant subvenir aux besoins de ses enfants, son divorce en 1947 et ses rêves de devenir une star alors qu'elle était enseignante.

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Elle a énormément inspiré Dita Von Teese sur l'ensemble de sa carrière

Et c'est en partie grâce à ces deux femmes que je ne complexe plus sur ma brioche voire que je la trouve sexy.

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Donc je dis Chapeau bas, respect et adieu Ma Dame.