25/11/2010
Féminity...euh Womanité...nan Womanity, oui c'est ça. Womanity.
Youhou !
Bon plan de dernière minute !
Si vous aimez vous faire chouchouter, Thierry Mugler fête la sortie de son nouveau parfum Womanity, et vous invite dans plusieurs villes de France à venir vous faire maquiller par des professionnels, et vous faire photographier !
Pour découvrir la gamme de Womanity, des bus vont se parquer à Lyon (notamment) du 25 au 27 novembre et ailleurs (voir la liste).
Les photos seront soumises au vote des internautes et le magazine BE fera une sélection parmi les photos qui auront reçus le plus de votes. La grande gagnante aura sa photo publiée dans le magazine et des cadeaux Thierry Mugler.
Plus d'infos ICI.
Et juste pour dire, comme ça, en passant, vous aurez aussi la possibilité de remporter une gamme complète Womanity sur le blog ici présent, dès la semaine prochaine !
Stay tuned !
08:00 | Lien permanent | Commentaires (2)
24/11/2010
Trash
Vous connaissez ce truc, quand on tombe amoureux ?
Mais siii, ce truc-là, dans le bas du ventre !
Là, le machin, qui donne l’impression qu’on va tomber dans les pommes d’amour (pommes d’amour)(jeu de mot)(purée, je suis trop drôle)
Les bestioles, là !
Mais siiii !
Je l’ai sur le bout de la langue…
Les papillons, voilàààà !
Eh bien, tu m’excuseras mon chéri, mais ces boots-là, elles m’ont collé un gros tas de papillons dans les yeux que toi ton tas, il ne lui arrive même pas à la cheville !
(Je plaisante, hein, je ne veux pas me prendre un savon par mon homme)
Alors oui, on est d’accord, elles sont loin… oui très loin… bon ok, elles sont complètement hors de l’univers de mon budget. On est d’accord aussi, j’avais commencé à vous parler de comment je fais pour ne plus rien dépenser en fringues pour faire des économies pour aller dans un pays lointain où il fait froid.
Oui, mais les papillons, quoi…
Et puis, dans le pays lointain où il fait froid, j’aurai bien besoin de bottes, non ?
Et alors, moi qui suis partisane de rester féminine et fashion même au bout d’une corde, et bien là, elles sont parfaites, non ?
En tous cas, la corde, c’est ce qui m’attend.
Si je les achète.
Rooooh, chéri ! Je plaisante !
Je continuerai donc, dans l’absolue et cruelle réalité de l’adversité, à fantasmer (de loin) sur ces boots qui peuplent mes rêves.
Un fantasme, elles resteront.
Jusqu’aux soldes.
Quoi ?
Ooooh, si on ne peut même plus plaisanter… !
Si, vous, par chance, vous avez des économies, vous pouvez trouver ces boots d’amour de la marque ASH chez Spartoo.
18:56 | Lien permanent | Commentaires (3)
22/11/2010
Mon p'tit uniforme
Précédemment, dans le blog de Kaamiye...
Je vous parlais du Uniform Project, et combien j'allais devoir m'en inspirer pour faire remonter un peu le niveau de mon compte bancaire.
Aujourd'hui, contrairement à vendredi, point de long discours, juste quelques photos de looks autour d'une même base.
Cette robe, c'est LE méga bon plan de la semaine, si vous voulez mon avis.
Achetée directement sur le site de Comptoir des Cotonniers (alors que je n'y mets jamais les pieds, clairement, tant c'est hors de mon budget), pour une bouchée de pain (pourquoi ce jour-là j'étais sur ce site ? ...ben...je bavais sur la fameuse cape que je n'aurai jamais, pardi!).
50 euros au lieu de 160 et je ne savais même pas qu'elle était soldée (ce n'est précisé nulle part sur le site) avant de la recevoir et de lire le prix initial sur l'étiquette.
Ok, on est d'accord, j'avais dit plus aucune dépense, mais j'avais envie de me faire un petit cadeau pour m'auto-féliciter d'avoir retrouvé du boulot après une micro-semaine de chômage (c'est pas trop du bol, ça?)
50 euros pour une robe CDC émeraude (dieu sait que j'aime le vert) en 100% soie... je me trouve plutôt raisonnable !
Voici donc une petite déclinaison de look autour de cette robe.
Avez-vous d'autres idées d'accessoirisation ?
Bottes Ash
Gilet H&M
Foulard fait dans un coupon de tissu Toto
Perfecto Les Plasticines pour Jennyfer
Boots Jonak
Bracelet et bague H&M
Gilet Zara
Boots Asos
08:00 | Lien permanent | Commentaires (10)
19/11/2010
De l’utilité d’explorer d‘un œil nouveau sa garde-robe quand son compte bancaire affiche -150€
Cela nous est déjà arrivé à toutes au moins une fois.
Sans se voiler la face, lorsqu’on était étudiante, ou bien au chômage et quand même un peu modasse. Ca nous est déjà arrivé à toutes au moins une fois.
Se lever et se dire « bon sang, qu’est-ce que je vais bien pouvoir mettre aujourd’hui ? »
Et juste après, se dire « allez ! Va pour le même pull qu’hier ! » et « oh et puis j’m’en fiche ! ».
Renoncement par dépit.
Il fut un temps où je serai montée sur mes grands chevaux que « non mais au secours c’est anti-fashion ! », « c’est sale ! », « c’est plouc ! », « tout le monde va me griller ! ».
Non, on est d’accord, je n’étais pas une tendre, mais on ne plaisante pas avec la classe.
Parce que trop souvent, j’ai assimilé classe et fringues-qui-se-renouvellent-tous-les-matins-comme-par-magie. Déconnez pas, je suis sûre que la moitié d’entre vous aussi, sans se l’avouer.
La pauvre Sheena n’aurait jamais survécu à mes convictions fashion d’alors.
Aujourd’hui, parce que je n’ai plus un rond et que mes priorités ont réellement changé, j’aurai plutôt tendance à leur courir derrière, à mes grands chevaux. Et à aduler le Uniform Project.
Il fut un temps où, étudiante, je préfèrais bouffer des coquillettes (sans dec, j’adore les coquillettes) tous les jours que dieu fait plutôt que de me passer de ce pull siiiiii miiiignoooon (mais gros gros gros)
(garce)
Aujourd’hui, j’ai un mâle à la maison qui va repérer tout de suite que ce que je porte là, non non non, c’est pas un vieux pull que j’ai retrouvé au fond d’une malle et qu’il n’avait jamais vu (ça fait pas si longtemps que ça, nous deux, et puis j’ai un très gros paquet de pulls, faut dire), mais une toute récente nouveauté payée les yeux de ma tête.
Ouiii mais chériii, il était tout seul tout perdu sur son cintre, ça aurait été un crime que de le laisser abandonné à la merci de toutes ces modasses qui rôdent, tu comprends ?
Et oui je sais que je suis au chômage et que je n’ai pas droit aux assedics et que ce soir on a rien à bouffer…
Mais non, j’ai pas fait exprès de rentrer dans ce foutu h&m, j’ai cru voir un steak au fond d’une allée, j’ai confondu avec un franprix, voilà !
Maintenant que j’ai un cerbère qui inspecte ma garde-robe, croyez-moi, j’ai révisé mes priorités (et mes sales excuses).
Bouffer des coquillettes tous les jours que dieu fait, oui, (sans dec, j’adore toujours les coquillettes), mais pour me payer un voyage en amoureux ou une machine à laver, c’est mieux.
L’idée majeure de notre conversation aujourd’hui sera donc « comment qu’on fait quand on est fauchée comme les blés et qu’on aimerait bien ne pas avoir l’impression de mettre les mêmes fringues tous les jours, sans avoir à en racheter ? »
C’est là que le constat fait mal : la blogophère ne pardonne pas les découverts.
Elle ne m’a pas attendue, ces derniers mois. Et mes copines blogueuses ont continué de s’offrir des fringues devant lesquelles je bave, évidemment, mais il faut me rendre à l’évidence : je suis une blogueuse fauchée.
Et qui dit blogueuse mode fauchée, dit blog mode à l’abandon.
Mais alors de quoi vais-je bien pouvoir vous parler sur ce blog ??
Faut bien l’avouer aussi, pour ne pas me coller la larme à l’œil et me petit-suicider chaque jour un peu plus en regardant cette délicieuse cape Comptoir qui coûte une blinde et que je n’aurai jamais (à défaut d’accepter de me prostituer), j’ai bien essayer de ne pas trop rôder sur les blogs de mes consoeurs sans pitié, et mon Glamour du mois d’octobre reste toujours illisible/non-lu/illu ? Bref. Non ouvert à ce jour.
Et ça c’est de la haute trahison modesque ou je ne m’y connais pas.
Qui dit tirelire désertique dit imagination aride.
Et c’est là que je me suis dit « ma vieille, il faudrait te mettre un grand coup de pied au cul, et réaliser que ton dressing est plein à craquer (c’est vrai, mon amoureux a 20 pauvres petits cm2 pour poser ses chemises, qu’il a du coup renoncé à poser)(parce qu’une chemise, ça fait un peu plus de 20cm2, qu’il dit) et que tu as certainement quelque chose à en faire ».
Mon imagination s’est desséchée, mais mon double diabolique est toujours bel et bien là, oui.
Mais on se soigne, je vous assure.
Et pi, d’un coup, un matin, j’ai eu plein d’idées (même que j’ai failli tomber dans les pommes, tellement que mon cerveau fashion était resté trop longtemps assoupi, dis donc !) pour rafraîchir un peu cette garde-robe.
*Accessoiriser à mort,
*piquer des habits de son mec (une belle chemise ceinturée sur un slim et des talons, miam)(ça ,c’est mon cerbère qui parle),
* superposer différentes couleurs, différentes longueurs et différentes étoffes,
*mélanger les imprimés qu’on n’aurait jamais osé mélanger avant,
*se garder un micro-budget shopping de 10 euros par mois (histoire de se sevrer doucement) et se faire plaisir une fois, avec une robe sympa Primark sur ebay UK ou une paire de collants imprimés funky chez H&M,
*customiser à coups de ciseaux, de teinture, de colle à tissu ou de clous (voire même les 4) les vieux trucs qu’on ne met plus,
*emprunter de temps en temps aux copines le petit top si joli qu’elles portaient l’autre jour en échange de notre jupe qu’elles adorent,
*détourner les robes d’été colorées avec un gros gilet en maille grise,
*oser porter ce top sexy qu’on réservait aux soirées boite de night sous un gilet noir pour réveiller une tenue slim-converse un peu trop classique,
*changer d’écharpe tous les jours même si on persiste à mettre tous les jours le même manteau,
*s’offrir un fond de sac pour en changer souvent aussi,
*changer de coiffure tous les jours et essayer de ne pas se coiffer deux fois pareil dans la même semaine, (et alors là, les gens, si vous avez les cheveux courts, vous zêtes pas dans la mouise) idem pour les chaussures et les bijoux si on doit remettre les mêmes vêtements,
*faire un foulard de ce paréo coloré qu’on aime tant,
*décider que pour un truc acheté on vendra un truc qu’on ne porte jamais, et faire en sorte de le faire en sens inverse (se faire plaisir APRES avoir vendu, hein, sinon ça sent le piège à plein nez (j’le sais, j’ai essayé, ça marche pas)),
*éviter de trainer sur les blogs tous les matins ou sur les forums de modasses, histoire de ne pas réveiller des envies de shopping non-désirées.
Ca reste du classique, mais ça marche bien, pour l’instant. (Je n’ai pas eu d’envies de suicide, ou de sueurs froides, aucun hold-up à signaler ni aucun découvert et personne n’a capté que j’avais porté 3 fois la même jupe cette semaine)(yeehaa)
A voir sur le long terme si je ne devrais pas être internée. Je vous dirai ça !
En tous les cas, on aura beau dire, tout de même, la solution que je préfère, c’est encore de ne pas avoir l’impression de porter mes vieilles fringues en me laissant déshabiller…
… du regard de mon homme.
Et vous ? Des solutions pour ne pas mettre toujours la même chose sans racheter auxquelles je n’aurai pas songé ?
Dans le prochain épisode de ma life, vous aurez droit au détail de mon petit collage de là-haut.
Stay tuned !
14:03 | Lien permanent | Commentaires (7)
10/11/2010
This is the time
Oyé oyé braves gens !
Voici venu le temps de l'île aux enfants de la révélation !
Après délibération, et des crises de rire, voici les 3 participations que j'ai retenu :
Maï-thy, avec son joli montage sur la carte du métro londonien :
"Attraper le London Virus, c'est pouvoir 4 heures après avoir quitté Lyon, se propager dans Londres via le métro pour :
engloutir un English Breakfast avant d'aller dire Hello à Big Ben, se prendre pour Marylin à la Tate Modern, fouiner avec Twiggy à Camden et finir par embrasser une vache folle ... londonienne !
Maï-Thy"
Elodie, avec son pacman que j'ai simplement trouvé génial :
Et Kirstie, hypocondriaque atteinte de fièvre londonienne :
Search : ça fait quoi d’attraper le London-Virus? |
?
London Virus
Un article de Wikikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Lyon)
Le London-Virus est une infection inflammatoire caractérisée par l’émission brutale et fréquente de mots de Cockney (argot Londonien) et de ‘coolitude aigu’. En général le London-Virus est due à des bactéries, telles que les fringues ultra on-trend ou les meilleurs musées et galeries en Europe. Des symptômes du London-Virus peuvent être aussi dus à des envies de manger du vrai fish ‘n chips, une cause particulièrement fréquente chez les expatriés britanniques installés à Lyon depuis 10 ans.
Ces envies s’accompagnent souvent de besoin de flâner sur les bords de la Tamise et de poussées de fièvre de jeudi soir (‘Thursday is the new Friday’) mais les symptômes varient en fonction des individus. En effet, certains se contentent de shop until they drop , d’autres ne montrent que des signes de painting the town red, et certains n’ont que the tourist syndrome, qui ne laisse rarement de graves séquelles, si ce n’est qu’un mug avec Queen Elizabeth’s head dessus.
Épidémiologie
Le London-Virus est la cause la plus courante de weekends en amoureux et de virées entre copains/copines, en particulier depuis les villes du Sud-Est de la France – notamment Lyon.
En France, lors du pic de l'épidémie hivernale 2010–2010, on estime à plus de 1000 personnes qui ont consulté des blogs Lyonnais spécialisés dans le traitement du London-Virus
Il s'agit donc d'un important problème de santé publique. D’autant que chaque année, l’épidémie du London-Virus concorde souvent avec les épidémies de Christmas shopping et de visites chez la famille, pouvant mettre en difficulté les systèmes de routage jusqu’ici existants.
Diagnostic
Les symptômes habituels du London-Virus sont des bouffées de culture, un appétit aiguisé pour toutes les spécialités culinaires du monde, ainsi qu’une vie sociale de dingue, suivi par le syndrome de la carte bleue en feu et les virulents, mais néanmoins bénins Cockney tongue et hangover from hell.
Traitement
La plupart des gens se rétablissent d'eux-mêmes en un ou deux jours sans traitement particulier autre que les mesures suivantes :
- Se reposer, en plein centre ville idéalement le temps que la fièvre diminue;
- Ne manger que les meilleures des cuisines du monde sur place pour permettre au système digestif de récupérer du régime saucisson, Camembert, baguette;
- Boire autant que possible de petites gorgées de thé (dans un Tea Shop à Covent Garden ou possible) ou de bon café (des cafés du Soho de préférence).
- Eviter les excès d’alcool – sauf sous contrôle des professionnels de la santé dans un pub conventionné.
- Une fois rassasié et la fièvre initiale diminuée, dépensez vous (et vos Euros changés en Pounds) en douceur entre Oxford Street et Covent Garden, Embankment et Soho, et Camden Town et Portobello Road.
Manger et boire en quantité : éviter les breuvages et plats excessivement sains qui (par phénomène d'osmose) entretiennent régime overload, sans pour autant se limiter à la diète BRATT (Bacon Butties, Ruby Murray, Apples ‘n Pears, Tea, Tart.
Voir aussi
· When you’re tired of London you’re tired of life (Samuel Johnson)
· Maybe it’s because I’m a Londoner (that I love London town) (chanson populaire)
· Ma maman, mes meilleurs amis du monde, mon London Town à moi
C'est bien simple, j'adore !
Ces 3 participantes gagnent leur sélection pour la grande sélection finale entre tous les gagnants des blogs organisateurs. Les finalistes seront récompensés de leurs brillantes idées par un billet A/R pour Londres pour 2 personnes.
Bonne chance à toutes les trois !!
Quant à vous lecteurs/trices, quelle est parmi les trois votre participation préférée ?
A très vite !!
13:55 | Lien permanent | Commentaires (3)