04/03/2010
Blogueuse indigne
Mes ptits poulets, non non, je ne vous oublie pas pour les resultats du concours...
Un contretemps de derniere minute m'oblige a repousser le tirage au sort a dimanche soir (par contre, comme convenu, je ne comptabiliserai que les reponses recues avant mercredi 3 minuit)
Promis, dimanche soir vous saurez qui remporte la paire de Faguo !
En attendant vous pouvez augmenter vos chances, car je sais que plusieurs blogs participent a la meme operation.
Plein de bises, je file au coin, blogueuse ingrate, j'avoue.
20:43 | Lien permanent | Commentaires (5)
01/03/2010
Je marche en Faguo pas en sabots : Le concours !
Chers amis,
L'heure est grave !
C'est l'heure du fameux petit concours dont je vous avais subrepticement parlé cette semaine.
Je vous avais présenté la marque Faguo, voici quelques uns des modèles de la collection printemps-été 2010 ainsi que de la collection actuelle, qui me plaisent bien bien (n'en déplaise à Trigou):
00:00 | Lien permanent | Commentaires (111)
25/02/2010
Une bonne petite marque de derrière les Faguo.
Vous qui suivez un peu mes « aventures » avez sans doute compris que je suis du genre écolo.
Je dirai même plus.
Je suis du genre extrémiste écolo.
Pour vous situer un peu le contexte :
- je fouille les poubelles de mes collègues tous les soirs pour recycler le papier qu’elles jètent.
-j’ai pleuré une bonne grosse demi-heure devant le spectacle de la chasse au requin de Océans de Jacques Perrin (foncez le voir, c’est sublimissime, c’est magique, non je n’exagère pas)
-c’est moi la rabat-joie qui ai collé le mot dans l’ascenceur qui dit «Faisons preuve de civisme, si vous ne recyclez pas vos déchets, faites au moins l’effort de ne pas ruiner ceux des gens qui s’inquiètent pour notre planète, elle vous dira merci ».
-je passe systématiquement derrière les gens pour éteindre la petite lulu de leur écran d’ordinateur (une nuit de lulu rouge de télé éteinte par la télécommande mais pas par le bouton = une télé allumée pendant 2h)
-je pleure systématiquement devant les images d’une marée noire dont tout le monde se fiche, et que vous dire quant aux suicides des baleines.
Oui, je sais, je suis un peu tarée.
Alors forcément, quand on m’a présenté la marque Faguo, je n’ai pas résisté bien longtemps.
Le concept : d’adorables petites baskets en toile, déclinées en tout un tas de couleurs que vous pouvez voir ici. Jusqu’ici tout va bien, rien de bien exceptionnel.
Là où la marque fait fort : elle s’engage à planter un arbre pour chaque paire achetée.
Comment ? En développant un partenariat avec le pépiniériste Naudet (on reverse un pourcentage du CA pour financer le replantage d’arbres en France).
L’objectif à terme : réduire au maximum les émissions de CO2 dûes à la production.
L’autre aspect sympa et citoyen du concept : Faguo emploie des personnes en situation de handicap et de réinsertion pour l’envoi et le stockage des chaussures.
Créée tout récemment (en 2009) par deux étudiants, Frédéric Mugnier et Nicolas Rohr, la marque investit déjà les stands du Who’s Next, et forcément, même si je n’ai encore jamais eu l’occasion d'y aller (faudrait que je me bouge un peu quand même), ça parle à mon âme de fashionista (et de future entrepreneuse, j'espère).
Fashion et écolo, j’ai envie de vous dire, mon cœur fait boom.
Nan, j’exagère pas.
C’est bien simple, j’adore.
J’adore le petit bouton en coco cousu sur le côté pour reconnaître la marque (et le fait qu’on en ait de rechange s’il se barre).
J’adore le design en arbre du logo sur le talon.
J’adore les couleurs un peu passées et l’esprit estival de ces chaussures.
J’adore le biais de couleur différente sur la cheville.
J’adore le fait qu’elles soient unisexe.
Je les ai moi-même essayées, et c’est un bonheur de confort !
Vivement le printemps, j’ai hâte de pouvoir les porter avec un jean 7/8, une marinière ou des fleurs !
Pour un prix tout ce qu’il y a de plus raisonnable quand on connaît l’engagement de la marque (50 euros la paire) et la qualité des chaussures, j’ai beaucoup hésité pour la couleur, mais je pense que je craquerai vite pour d’autres parmi la gamme (je les veux toutes !).
Et vous ? Etes-vous touchés par ce genre de concept ? La marque vous parle ?
Juste comme ça, entre nous, un petit conseil, revenez donc de temps en temps par ici, car il se pourrait bien qu’un petit concours y soit organisé d’ici très très peu de temps.
Je dis ça, je dis rien.
Et sinon, vous pouvez retrouver toutes les infos qui vous intéressent sur le site de la marque ou sur leur Facebook.
Bisous mes roudoudous, à très vite !
*J’émettrai peut-être une petite réserve (parce que je veux donner mon avis le plus sincère possible) sur la boîte d’emballage en plastique. Il me faudrait une assurance qu’il soit ou sera recyclé. Même si forcément, je vais moi-même m’en servir pour du rangement, tout le monde ne conserve pas les boîtes. Et puis le fait que les baskets soient made in china. En terme de CO2, ahem… Je vous le disais : Extrémiste.
(ouais je sais, mon gilet est made in pakistan, et je vais à Bali 1 fois par an, shame on me)
11:00 | Lien permanent | Commentaires (12)
23/02/2010
Vilaine... Vilaine Fille Sale.
Cet e-shop me ruinera.
Non sérieusement, je veux TOUT.
Enfin tout ça quoi.
Je vous laisse deviner sur quoi j'ai craqué !
18:14 | Lien permanent | Commentaires (9)
20/02/2010
Comment j'ai failli passer l'arme à gauche pour un pull rayé
En direct de Lyon ce matin, levée aux aurores pour rejoindre Margaux devant le H&M.
Je pensais être laaarge, j'avais programmé le réveil à 8h30, je pensais me laver les cheveux tranquillou.
En plein milieu de mon croissant (ma pauvre tartine sans confiture, mais dans mes rêves les plus fous, j'ai des croissants frais tous les matins), je reçois un texto de Margaux qui est déjà bien en avance (alors qu'elle pensait être à la bourre, pff, ça se voit que tu ne me connais pas) "Grouille tes fesses Kaamiye, il y a déjà une queue de 50 personnes !"
Ben le temps que j'arrive, ce n'était pas 50 personnes mais 150.
Ambiance.
Et puis, un vigile a eu l'idée du siècle. Faire passer les gens du bout de la queue devant tout le monde pour les faire venir devant la porte.
Genre.
Je commence à avoir peur. Je sens la sueur froide le long de mon dos. Je sens aussi le sac pointu de la fille de derrière me transpercer le mollet. Petasse.
Je vois un gars sorti de nulle part faire "pfff" d'impatience, comme s'il était là depuis des siècles, alors qu'il vient d'arriver et de me passer devant ni vu ni connu je t'embrouille.
C'est fédérateur, les foules.
Tout le monde s'impatiente, donc on discute, on dispute, on élabore des stratégies, on râle tous en choeur.
Et puis les portes s'ouvrent, et là.
C'est le drame.
Chacun pour sa gueule, on ne connait plus ses copines, l'arme au poing, sauve ta peau, on se retrouve (peut-être) à la sortie !
Ambiance. Grosse ambiance.
La nana devant Margaux s'est effondrée et s'est juste un peu fait marcher dessus par les harpies en furie. Juste un peu.
Une fille à côté de moi avait la joue en feu de s'être fait griffer par une sauvage qui voulait son pull.
Une vieille bique me gueulait dessus alors qu'elle était en train d'enrouler sa combi-pantalon autour de mes jambes et que je ne pouvais plus bouger, plus elle tirait, plus elle arrachait mon sac, moins je pouvais bouger et plus elle s'énervait.
J'ai mis 10 bonnes minutes avant de réussir à acéder aux portants et choper un truc. Sans mentir.
Les cintres déchiquettés à terre.
Les fringues déchirées.
Le vendeur écarsé par la foule parce qu'il porte dans ses bras un petit réassort.
Les insultes et les cris qui fusent de tous côtés.
Le vide intersidéral sur les portants au bout de 10 minutes montre en main.
Un paysage d'apocalypse.
Nan, j'exagère même pas.
Les filles sont folles.
14:14 | Lien permanent | Commentaires (65) | Tags : mode, rykiel, h&m, marinière