Comment porter autre chose que du noir en hiver

 

Mes chérichéris,

Cette semaine, j'ai envie de vous la faire façon "thématique".

Et comme en ce moment je n'ai envie de ne porter que ça, je vais carrément vous la jouer nude.

 

 

Rooooh tout de suite !

Non je ne vais pas me mettre à poil sur ce blog.

 

On me l'a déjà demandé, j'ai dit que c'était pas assez bien payé.

Le thème des looks de cette semaine sera donc le Nude, dans toutes les déclinaisons que j'ai pu trouver dans ma garde-robe.

Du rose, du beige, du gris.

En essayant de porter le moins possible de noir, et croyez-moi, quand on me connaît, c'est un challenge, je n'aime la couleur que dans les accessoires ou les sous-vêtements.

(Mais je le redis, Non c'est non !)

Et pourquoi pas en fin de semaine, un petit sondage pour connaître votre tenue préférée parmi celles que je vous aurai montrées.

 

Voici donc ma première tentative de pastel.

Et comme j'ai beaucoup de boulot (soutenance jeudi), vous ne m'en voudrez pas, mes posts seront tout ce qu'il y a de plus light.

Nude, quoi.

Pleins de poutous.

 

Sous-pull et gilet H&M

Robe et Sandales Zara

J’ai testé pour vous ... Le Pom bag Santa Fe de DAREL

Pom bag Santa Fe

 

 

(Enfin, ne nous cachons pas, je l’ai avant tout testé pour moi, hein, mais bon, si je peux rendre service)

Vous l'avez déjà vu sur ce blog, et beaucoup m'ont demandé de vous faire un petit test sur ce nouveau venu.

A l’occasion de mes 25 ans, je me suis vue offrir un vrai sac de lady.

Jusqu’à maintenant je me trainais mon vieux Paloma de Brontibay, qui est certes le plus mignon d’entre tous mes sacs, mais commence à se faire un peu vieux.

Ou le sac Zara à chaînes, bleu pétant, une pièce un peu trop forte pour les jours où je n’ai pas envie de jouer la modasse.

J’avais besoin d’un vrai sac de femme, à mon âge, il était temps, et surtout d’un sac un chouilla plus grand.

Le Pom bag Santa Fe de Gérard Darel joue très bien son rôle.

C’est pas pour rien que je n’en ai que des compliments de la part de mes collègues, toutes des femmes (oui c’est l’enfer) entre 35 et 45 ans.

En effet, j’ai un train de retard, car il date (déjà) de la saison dernière (Mamie Gummer), alors que je ne l’ai encore jamais vu, ni sur la blogo, ni dans les magazines, ni dans la rue (et qu’on en est déjà à Robin Wright).

Mais en restant objective, il a beaucoup d’atouts et c’est à mon avis, un indémodable.

J’ai été un peu « déçue » lorsque je l’ai reçu, car je m’attendais à une forme bien tassée et ovale comme sur la photo du site, finalement il était plus rond et moins « souple ». Mais s’il fait très neuf au départ, le cuir (une vraie peau de bébé) se patine divinement avec le temps (doucement tout de même, il est de qualité, et ça ne fait qu’un mois et demi que je l’ai) et le sac se détend.

 J’avais un peu peur qu’avec le temps sa forme assez « forte » se démode ou me lasse, mais finalement j’apprends à l’aimer et à le considérer comme un classique.

Il a deux anses, une à boucles cuivrées (qui fait l’originalité du sac) plus courte pour un porté à l’épaule. On peut également le porter à la saignée du coude, mais comme l’anse est assez longue le sac se retrouve plutôt bas, j’ai un peu peur des frottements contre les jambes. L’autre permet de porter le sac en bandoulière (ce que je préfère, ça fait tout de suite un peu moins femme, hin hin), mais mériterait un trou un plus. On peut enlever cette anse, ou la fixer sur des crochets intérieurs (qui du coup la rendent moins longue, mais cachent la petite anse à boucles au porter, alors que c’est ce qui est joli)

Pardon pour ces photos moches, je suis un peu triste aujourd'hui

(suite à un gros lapin posé par un mec que j'attendais comme le messie)

mieux vaut que je ne vous montre pas ma trogne bouffie.

J’adore le plissé sous le rabat, resserré par un lien à pompoms dans le même cuir que le sac.

Idem, le rabat se patine et se plisse joliment à l’usage. Chaque pièce qui forme le Pom’bag est surpiqué avec un fil beige, j’avoue je ne l’ai remarqué qu’en faisant les photos pour ce post J

 

 

Il a une contenance plutôt agréable, même si seul un cahier format A5 rentrera (pour les étudiantes c’est râpé, heureusement pour moi c’est très bientôt fini et puis les étudiantes qui portent leur cahier A4, ça fait sexy, enfin t’as qu’à y croire comme on dit chez moi).

Voici tout ce que je trimballe dans mon sac de fille :

Une fois tout ce bazar rangé à l’intérieur (Les petits trucs genre rouge à lèvre, tampon, chewing gums et clés, dans une des trois poches intérieures ; le portable dans la poche prévue à cet usage ; le chéquier dans la poche fermée par un zip / Les gros trucs dans le « compartiment » principal ou la poche de devant si j’ai besoin d’y accéder rapidement), il reste encore un peu de place.

Concernant l’entretien, pour l’instant je ne l’ai qu’imperméabilisé, et j’avoue qu’avec son daim, j’ai un peu peur d’y toucher avec d’autres produits. Mais pour l’instant, il vieillit très bien, et j’imagine qu’avec une gomme spécialisée, ça sera plus simple à nettoyer (les jeans qui déteignent, par exemple).

La couleur taupe est divine, c’est ce qui m’a plu tout de suite, j’avais peur qu’on m’offre le noir, qui du coup aurait été tout de suite moins original. Je trouve que cette couleur va avec beaucoup de couleurs, et aura vite un petit côté « vintage » lorsqu’elle aura vieilli.

J’ai choisi la déclinaison Santa Fe (daim) du Pom’bag, car j’avais un peu peur que le Salvador (cuir verni) se « craquèle » trop et du coup soit plus fragile.

Enfin, la doublure est en tissu, dans un taupe proche du cuir. J’aurai aimé une doublure en satin ou dans une autre couleur, ou avec un imprimé (fleuri dans les mêmes tons par exemple), c’est un peu dommage, mais finalement ce n’est pas le plus important, car le resserrage du sac ne permet pas forcément de voir le fond du sac (j’y vais plutôt à tâtons, là aussi c’est peut-être un point qui peut déplaire).

Au final, c’est un très beau sac, le cuir est d’une douceur très agréable, la contenance ne suffira peut-être pas à certaines, mais pour moi c’est suffisant au quotidien. L’imperméabilisant suffit à le protéger contre la pluie, ce qui est très appréciable. La possibilité de le porter de différentes manières, forcément, je kiffe.

J’ai hesité avec un Velvetine (mais bien sûr, introuvable sur Lyon, pourquoi ça n’étonne personne ?) ou un Abaco (mais à part la besace de Balibulle, introuvable en fauve, bof pour les autres modèles), mon choix s’est tourné vers Darel, qui je pense, en matière de sac est une valeur sûre et ce modèle plus classique, et donc moins casse-gueule et moins démodable. Il a l'avantage aussi d'être moins vu et moins "féminin" que le 24h.

 

En résumé :

J’aime : Le cuir, la couleur. La petite anse qui reste assez longue pour pouvoir fouiller dans son sac à son aise lorsqu’on le porte à l’épaule. La possibilité de plus ou moins serrer le lien pour augmenter la contenance. La contenance raisonnable. Les pompoms que je tripote tout le temps. Le lien resserrable que l’on voit à l’arrière du sac. La possibilité de porter le sac à la main à l’aide de deux petites anses sur les côtés. La possibilité d’enlever la grande anse. La poche plate devant, pour mettre les trucs dont je pourrais avoir besoin rapidement.

Je n’aime pas : l’anse un peu trop longue pour le porter en bandoulière. Le format A4 qui ne rentre pas. La petite poche intérieure un peu large dans laquelle je me prends la main quand je fouille dans la poche principale. Le manque d’un grand zip pour fermer le sac : pratique pour fouiller rapidement dedans, moins rassurant dans mon quartier de pickpockets.

 

Je vous souhaite un excellent week end, plein de bises !

 

 

 

Le casse du siècle

L'objet du délit...

Il faut vivre dangereusement les instants de tous les jours.

Moving in Reverse

Si vous me suivez un peu, vous aurez probablement remarqué (ou je vous l'aurais lourdement suggéré) que j'ai pratiquement toujours un temps de retard sur la mode.

La seule fois où je l'ai devancée (voire même lancée), c'est quand en 3e, j'ai juste teint les pointes de mes cheveux en roux puis en blond.

Te moques pas, je trouvais ça trop cool, et maintenant que Daphné Burki a la même chose, je suis encore plus fière de l'avoir fait avant.

Parfois un rien suffit à kiffer la life.

 

Bref, quand ( 80% du temps) j'adhère enfin, au bout de 6 mois, à une mode, vous pouvez être sûrs que je la porte à outrance.

Et même que la plupart du temps, je mélange tout.

Voici donc un gros shmilblick modesque, mais ça a beau être un mélange de style, ça va plutôt bien ensemble, non ?

 

 + bonus track en boucle in my head.

Des bises mes modasses.

Robe Topshop

Collants H&M

Sac Darel

Boots Janet&Janet

Marinière Gap