23/06/2008
Week End Créatif
Ce Week end, j'ai mangé au resto pour fêter le départ de mon p'tit frère aux Stasunis.
Les restos sur les péniches, blindés, au soleil, une bonne odeur de pizza, un bon petit kir (ouais je suis une poufina, je bois du kir et j'assume) tout le monde il est beau, tout le monde il sourit, ça faisait plaisir à voir !
Samedi soir, comme tout le monde, j'ai flâné un peu, écouté beaucoup, nan je déconne, en fait j'ai gambadé derrière un grand gaillard dont les jambes font 2 mètres de plus que les miennes et qui court vite quand la zique le saôule...! (nan en fait j'étais devant)
:D
A Lyon, pas mal de petits groupes de rock, beaucoup de jeunes frangés en slim (des garçons j'entends) gueulards, mais c'était drôle.
Et au détour d'une ruelle, on est tombés sur un un sympa petit groupe, un ou deux DJ (je répète que je suis naine, alors j'ai pas tout vu), un saxo, une basse, un clavier.
Un mix de jazz/lounge/boum boum. On a bien aimé, mais pas de myspace, alors les gars si vous passez par là, un site ce serait bien, pour m'éviter de piquer des bouts de vidéos du bout de mes p'tits bras maigres.
The Blhousers, qu'ils s'appelent.
Fete de la musique 2008 à Lyon
Vidéo envoyée par kaamiye
Et dimanche, il faisait (très) chaud, j'en avais marre de courir, alors je me suis freezée.
Ouais, j'aime bien, ça fait stylée.
Le principe: ben, un bon groupe de personnes qui ne se connaissent pas mais qui pendant 10 minutes vont être complices, et se figer au milieu d'une foule. Vous avez surement déjà entendu parler de celles de NY ou Londres. Celle-ci était moins impressionante (50 personnes seulement), mais très conviviale, on a bien rigolé (sous cape), crevé de chaud (en plein cagnard sur les quais du Rhône), avalé du pollen (saloperie) (heureusement que j'avais mes lunettes de soleil, j'avais le vent dans la tronche).
Malgré tout ce qu'on peut dire, ben 10 minutes, c'est vachement loooooong ! (j'avais vraiment mal au bras, et qui est la conne qui s'est figée en tendant à mort son genou ? C'est Bibi !)
Contrairement à ce qu'on peut voir sur la vidéo, je suis figée (le vent me pousse), en train de prendre une photo (en fait je filme mais ça vous aviez capté, j'suis con) pendant qu'un pote (le grand maigre de samedi) m'allume une clope (ouais on a pas trouvé plus original et pourtant on s'est creusé, mais quand on a vu débarqué un mec en palme-tuba, toute notre imagination est retombée).
Vous remarquerez le gros tricheur avec sa poussette qui s'incruste dans la freeze pour faire style lui aussi ! Je ne l'ai remarqué qu'en regardant la vidéo !!
Je kiffe aussi le couple qui s'arrête pour ne pas gacher la photo (bon sang mais qu'est-ce qu'elle est longue à prendre cette photo !), et le mec, vas-y que j'en profite pour te mater la culotte (y avait du vent!) et mon pote qui s'étouffe !
Je vous conseille de couper le son, je n'ai pas de logiciel de montage donc bruit du vent non stop !
La prochaine à la rentrée, j'ai hâte ! (et je prendrais des accessoires !)
20:54 | Lien permanent | Commentaires (5)
22/06/2008
aaaargh...
15:05 | Lien permanent | Commentaires (1)
21/06/2008
I've lost my Modjo !
Mon modjo fringuesque, je parle, ma libido va très bien, merci.
Je crois que je suis dans une phase où je suis maudite de la fringue.
Tout ce que j'achète ou commande, finalement, ça me boudine. C'est trop grand. C'est trop serré. Ca me fait un gros booty.
J'trouve des trucs bien, hein, là n'est pas le souci.
J'trouve des trucs bien mais hors de prix (du genre cette si jolie robe Zara en coton blanc et dentelle, romantique comme je rêve depuis si longtemps, mais qui dans 2 jours n'y sera plus, alors autant ne pas parler des soldes).
Je crois qu'il faut que je révise mon mode de dépenses : cher mais beau/ pas cher mais basique.
Et que j'économise surtout.
J'avais trouvé cette jupette NafNaf bien sympatoche, mais je n'oserai jamais la porter, trop l'impression qu'elle me fait un énooorme ass.


Oui, je sais, il faut à tout prix que j'évite les leggings !


17:55 | Lien permanent | Commentaires (9)
20/06/2008
Ode à Alexandre
Je lui trouve une tête à s'appeler Alex, ou Vince. Il s'appelle pas du tout comme ça, mais je sais pas s'il serait très content de voir son nom sur mon blog (si jamais).
C'est mon coiffeur.
Je rentre avec les cheveux longs en dessous des épaules (longueur la plus longue que je n'ai jamais eue de toute ma vie) et je ressort avec une coupe indéfinissable mais ultra ultra courte. Et je suis quand même contente.
Il n'y a que lui qui sache faire ça.
Je veux dire, j'y suis quand même allée pour débroussailler un peu les longueurs, redonner du volume et du peps à mon dégradé.
Il faut savoir que mes cheveux et moi, c'est une longue histoire d'amour et de haine. Surtout de haine. Mes cheveux n'ont poussé qu'à l'âge douloureux de 6 ans, où les enfants ne sont pas réputés pour être super cools entre eux. J'ai mis des serviettes et des jupes sur ma tête avec des pinces à linges pendant des années pour faire style j'avais des cheveux... En voyage on me mettait la main dans la couche pour vérifier que ma mère disait vrai quand elle disait que j'étais une fille.
Alors faut pas m'embeter avec mes cheveux, et aller chez le coiffeur pour moi relève du parcours du combattant (entre 6 mois et 3 ans pour me convaincre). Et j'ai enfin trouvé un salon où ils savent me coiffer (ah ouais parce qu'en plus j'ai les cheveux bouclés ultra chiants), alors je ne le lache plus.
Bref comme à chaque fois, j'ai dit à Alex, enfin Vince, que j'étais tellement stressée que j'allais vomir, que je voulais un truc fun, sexy et volumineux, mais pas trop court parce que j'aime mes longueurs que j'ai mis tant de temps à avoir, mais facile à coiffer quand même . Quoi je suis compliquée ?
Il a retenu les mots "vomi", "marrant" et "longueurs".
Après m'avoir abandonnée au bac à shampoing, sans mentir, pendant une heure (ma copine a eu le temps de se faire coiffer ET de lire un bouquin), autant vous dire que j'étais détendue à mort, voire je dormais.
Il m'a regardée droit dans les yeux et il m'a dit la phrase fatidique : "Toi, ça va être ta fête !"
Gloups.
Je l'ai laissé faire (il est beau, c'est suffisament convaincant).
J'ai rien dit.
J'me suis rendue compte de rien à vrai dire.
Même quand il a passé le rasoir, j'ai pas moufté (enfin mon coeur s'est arrêté, mais dans le coma, on moufte pas).
Et j'ai aimé.
J'ai donc les cheveux de la nuque ultra courts et des mèches très longues devant. Et je ne sais pas comment il a fait, mais j'ai pas l'air du tout d'une cagole.
Il m'a dit: "tu voulais du freestyle, fun et marrant, j'ai exaucé".
Je me sens toute nue.
J'ai froid au cou.
Ca fait drôle je ne peux plus les attacher.
J'ai eu des doutes toute la nuit sur "merde, est-ce que j'ai pas fait une connerie, vais-je oser l'engueuler ce salopard qui m'a ratiboisé mes belles boucles longues?"
Je me suis levée 10 fois pour aller me regarder.
Et en fait ça passe bien.
C'est fun et frais et presque j'irai jusqu'à dire que c'est chekchy.
En tous cas ca ne laisse pas indifférent, comme ce jeune homme de bonne famille dans la rue qui m'a sussuré à l'oreille ces mots doux et délicats "j'te bouffe la chatte".
Petit, laisse moi te dire qu'il faudrait déjà que tu saches où elle se trouve, du haut de tes 12 ans et demi.
Pas sûr que ça plaise à mon F*ck*ngFr**nd, mais c'est la coupe la plus facile à coiffer que j'ai jamais vu (pas de séchage, une goutte de wax, ébourriffage).
Bon Alex aka Vince m'a dit que je pouvais faire plein de styles différents mais j'ai pas encore trouvé.
Merde , c'est con. Il va falloir que j'y retourne !
Mais si j'y retourne, je l'épouse.
Celui-là, le jour où il ne travaille plus dans ce salon, je me pend.
Sérieux, je me pend. Ou je me rase la tête. A vie.
D’ailleurs j’ai peur que la prochaine fois que j’y vais on me dise qu’il n’y est plus.
Adieu monde cruel.
18:47 | Lien permanent | Commentaires (2)
14/06/2008
I see your true colors shiniiiing !
Aujourd'hui, j'ai fait comme tous les gens de mon quartier : je me suis ruée à la brocante du cours Jean Jaurès dans le 7e (à Lyon).
Un gros foutoir, je ne vois pas d'autre mot. Il y a des perles, comme dans toute brocante, mais forcément hors de prix. Mais il y a aussi un paquet de cochonneries. Les mecs vont quand même jusqu'à vendre des vieux soutifs ou des bouchons de champagne. A un euro le truc, ça vaut presque le coup de te mettre à vendre toi aussi, j'ai envie de te dire.
Bref, on a bien flâné (j'adore), chiné (je kiffe), j'ai trouvé deux petites choses mignonettes mais ridicules:


17:28 | Lien permanent | Commentaires (2)