15/09/2008
Roooarrr ! (Non mais)
J'avais bien pensé mettre une chanson plus en rapport avec le Lion, mais "Le lion est mort ce soir", pfff, déprimant.
Hakuna Matata, ça résume quand même vachement plus mon état d'esprit d'aujourd'hui (séance shopping avec les copines, ça requinque) !
Avant je me disais, quand même, le total look imprimé animal, surtout panthère, ça fait super-cagole !
Mais en fait, les goûts et surtout les modes changent, et finalement, en petites touches, ça peut être très sympa :
23:51 | Lien permanent | Commentaires (3)
14/09/2008
Chinoiseries
Ou plutôt Asiatiqueries, puisque mon article est plutôt un gros mélange de nationalités.
Vous n'êtes pas sans savoir que j'ai longtemps vécu en Asie, bon mon petit pays d'acceuil n'avait pas grand choses à voir avec la Chine ou le Japon comme on peut les visualiser aujourd'hui, même si c'est quand même plein d'immigrés chinois.
Mais je reste quand même super attachée à ce qu'on appelle les "chinoiseries", les trucs asiatiques, la bouffe, les fringues, les gadgets, les odeurs, les différentes méddecines et philosophies.
Et il y a un truc que je ne peux plus écouter en France uniquement en allumant la télé, et qui me manque carrément. C'est la voix de Utada Hikaru.
Alors certes elle a une carrière internationale, m'enfin vous ne m'oterez pas l'idée qu'on l'entend jamais à la radio.
Elle n'est certes pas chinoise, mais elle illustre parfaitement l'esprit de ma tenue.
Je ne vous raconte même pas à quel point MTV India me manque !!!
18:51 | Lien permanent | Commentaires (2)
13/09/2008
Parlons chiffons ...
... Pour changer !
Petite sélection de jolis machins que je ne pourrai jamais me payer:
17:45 | Lien permanent | Commentaires (6)
12/09/2008
Loulou ? oui c'est moi
Il y a quelques semaines est sortie chez l'ami Krispolls une petite robe sur laquelle j'ai totalement flashé (et je ne crois pas être la seule)
Vous connaissez mon amour pour les années 80, mais je ne crois pas avoir jamais mentionné que j'aime aussi énormément la mode des années 20, les robes au genou, les bibis, les colliers de perles.
Quoique je n'oserai jamais porter la totale à part pour un bal costumé thématique, j'ai quand même hésité et essayé et re-hésité et re-essayé la robe.
Et puis des circonstances atténuantes ont fait que j'ai craqué et voici le résultat.
18:13 | Lien permanent | Commentaires (6)
11/09/2008
Manger les pissenlits par la racine
est en passe de devenir une de mes activités favorites.
Non je ne parle pas de me suicider, fouilla, j'ai des problèmes, ok, m'enfin pas à ce point !
Je parle de la dernière série d'ABC en date, Pushing Daisies.
Si vous êtes comme moi, que vous avez vécu dans l'univers d'Amélie Poulain des années après sa sortie en salle, qu'un cochon éteint votre lampe de chevet le soir et qu'un vieux bonhomme raconte votre histoire à longueur de journée.
Si comme moi, vous collectionnez les films de Burton, avez pleuré devant Vincent, chanté devant Sweeney Todd et ressassé la fameuse phrase "Jack Skellington nous a quitté! Il mange les pissenlits par la raciiine !" deux heures après avoir vu le film.
Alors vous ne pouvez qu'aimer Pushing Daisies, son univers rose bonbon, sa voix off digne de Vincent Price dans Edward Scissorhands (en VO uniquement, cela va sans dire), son anti-héros timide et maladroit, son héroine jolie comme un coeur (on dirait la soeur d'Evangeline Lilly) et sa méchante pas si méchante que ça (la pauvre se consume d'amour pour notre héros, qui la dédaigne, alors elle rêve sa vie en chantant), la musique et les cadavres.
Car oui, c'est quand même avant tout une série sur la mort. Un pâtissier découvre qu'il a le pouvoir de réanimer les morts pendant une minute, juste le temps de leur demander qui les a tués, de résoudre l'énigme et de gagner la récompense, simplement en les touchant. S'il les touche à nouveau, la personne re-meurre, à tout jamais.
Jusqu'ici rien de transcendant. Sauf qu'un jour, il réanime son ancienne petite copine assassinée. Mais ne la fait pas re-mourir.
Suis-je claire ?
En bref, ils s'aiment, mais ne pourront plus jamais jamais se toucher.
J'ai un faible pour les histoires d'amour contrariées. (heureusement il y a des alternatives!)
Et cet univers si coloré, si 60's.
Ca sent le bonbon dans les cercueils.
17:58 | Lien permanent | Commentaires (7)