13/12/2008
"Le phénomène des Frissons"
Ou mes lubies musicales.
Aujourd'hui si vous le voulez bien, je vais vous parler musique. Parce qu'elle tient une grande part dans ma vie, même si moi-même je ne suis pas musicienne (je regrette bien maintenant, à 23 ans, d'avoir envoyé bouler ma mère qui voulait m'inscrire au piano !)
Il y a un certain type de musiques ou de chansons pour lequel j’ai une attirance automatique et immédiate.
D’ailleurs quand j’essaie d’expliquer ça à des amis, je passe toujours pour une folle à lier : « Bon sang, Camille, t’es vraiment névrosée ! Pourquoi tu te prends la tête à penser à des trucs pareils ?? »
Je n’y peux rien, ça m’occupe quand je suis dans le train, ce genre de réflexion hautement « philosophique » sur la musique que je suis en train d’écouter.
Ce type de musique-là, celui qui me fascine, je ne crois pas qu’il y ait un véritable nom pour l’expliquer.
Du coup je vous ai préparé une petite playlist pour figurer mes idées.
C’est un peu comme voyager en train. On colle son front à la vitre (préalablement essuyée, sinon berk caca). On laisse son esprit divaguer et son regard porter sur les rails. Les yeux suivent chacun des poteaux que l’on croise.
Je ne sais pas si vous avez déjà vu le clip de Starguitar des Chemical Brothers, mais c’est exactement CA. Chaque poteau donne le rythme, chaque élément du paysage donne un son qui compose la musique.
C’est un rythme qui démarre très faiblement, et le son augmente, et les basses s’intensifient, et d’autres rythmes viennent s’insérer dans la chanson… Ca monte en intensité. Sans jamais redescendre de toute la durée du morceau. C’est en général assez intense pour me laisser complètement essoufflée à la fin de la chanson.
Lorsque j’écoute ce type de musique bien particulière, une image me vient vite à l’esprit. Souvent en rapport avec des scènes de films, mais c’est sûrement parce que j’imagine toujours ma vie comme dans un film et les musiques que j’écoute sont un peu ma soundtrack à moi.
J’imagine que je suis aux commandes d’un hélicoptère qui survole la mer. Vous savez, cette image clichée à la fin des films de guerre, l’hélicoptère qui vient récupérer les survivants, qui s’envolent sur fond de soleil couchant, au dessus de la mer. (un peu comme la scène finale de Profession Profiler avec Christian Slater (excusez les références cinématographiques un peu pathétiques), ou Apocalypse Now)
J’ai donné un nom à cette idée-là, parce que je suis névrosée, mais surtout parce que je ne suis pas musicienne.
J’appelle ça un morceau avec « ouverture ».
Pour exemple, les morceaux suivants sont pour moi des morceaux « avec ouverture » :
Découvrez Bronski Beat!
Découvrez Cary Brothers!
Découvrez Coldplay!
Découvrez Grand Tourism!
Découvrez Muse!
Découvrez Various Artists - Costes!
Découvrez DeVotchKa!
Découvrez DJ Shadow!
Découvrez Fatboy Slim!
Découvrez Gorillaz!
Découvrez Nelly Furtado!
Découvrez Ozark Henry!
Deux que j’aime particulièrement et qui illustrent bien mon propos:
Découvrez Sébastien Tellier!
Découvrez Cassius!
Ceux-là, au contraire, n’en sont pas :
Découvrez Erykah Badu!
Découvrez Hushpuppies!
Découvrez Gym Class Heroes!
Découvrez Juanes!
Découvrez Keren Ann!
Découvrez Lily Allen!
Découvrez M.I.A.!
Découvrez Ne-Yo!
Découvrez Primal Scream!
Découvrez Psapp!
Découvrez Regina Spektor!
Découvrez Sean Lennon!
Découvrez The Long Blondes!
Découvrez Tryo!
Découvrez 10cc!
Certains groupes ont, j’ai bien l’impression fait de ce type de musique entraînante, leur marque de fabrique.
Je pense bien sûr forcément à mes deux groupes préférés-de-la-life-que-je-les-aimerai-pour-toujours-et-forever, j’ai nommé, Coldplay et Arcade Fire.
Il y a un morceau en particulier chez Arcade Fire que je trouve tellement… et tellement… Je le trouve tellement beau que je n’ai pas vraiment de mots pour le décrire de façon tout à fait objective.
C’est bien simple, cette chanson me fait pleurer à chaque écoute. C’est automatique. Je mets le volume à fond la caisse. Ca commence par des frissons sur les bras et dans le cou à cause des violons. Ensuite mes mains se mettent à battre le rythme. Puis j’entre en trance, je suis un chef d’orchestre (et là, à ce moment précis, c’est même plus la peine de me parler, je n’écoute plus rien d’autre). Et après, pof, inévitable, automatique et sûrement pour quelques années encore, je pleure.
Tellement que c’est beau.
Ca s’appelle No cars go, d’Arcade Fire et c’est tout de suite :
Découvrez Arcade Fire!
Cette intensité croissante, moi ça me file des frissons, surtout le volume à fond.
Je pense aussi à Bjork, qui est très douée également dans ce genre de « frisson musical », notamment avec cette chanson-ci :
Découvrez Björk!
Ou celle-là, d’autant plus intense d’ailleurs:
Découvrez Björk!
Play Dead, c’est un peu le commencement de ce goût prononcé, je crois. En tous cas, c’est avec cette chanson-là (et là, lecteur, un scoop sur mes névroses en exclu pour toi) que j’ai commencé à danser toute seule dans le noir avant d’aller me coucher. Et oui. Tous les soirs depuis que j’ai 13 ans. Le walkman, puis l’ipod, à fond les ballons, dans ma chambre, dans le noir. C’est moi le chef d’orchestre. Je balance mes bras dans le vent, je hurle en silence. C’est un secret, mais finalement je n’ai pas honte du tout. J’ai trouvé un excellent moyen de contrôler mon cœur, de me défouler sans faire forcément du sport. De faire du sport sans me confronter au regard des autres dans un banal cours de danse. Et de m’endormir. J’assume. Mais je vous le dis, c’est un scoop, il doit y avoir que ma coloc pour savoir ça. Je crois que je serai bien malheureuse de ne plus faire ça quand je vivrais avec mon homme (oui je ne désespère pas, y en aura bien un, un jour, pour accepter de faire ça pour moi :D )…
Attention, les morceaux ne sont pas forcément « joyeux » ou super instrumentalisés, la majorité des chansons des Doors me font le même effet (et que dire de ce que je ressens quand je les entends dans un film)
En attendant, je continue à n’écouter pratiquement que ce genre de musique-là. Ce n’est pas que je n’apprécie pas les morceaux dits « fermés », mais sincèrement ils me séduisent automatiquement moins. Je dis automatiquement, car après une observation de longues années, j’en suis arrivée à cette conclusion.
Ne vous moquez pas. Mon discours est depuis des années très réfléchi sur ce que j’appelle le « phénomène des frissons ». J’invente les noms, mais certainement que le jargon professionnel musical a un petit nom pour ça. Je préfère garder mes petits noms à moi. Au moins comme ça, je m’approprie totalement la musique que j’écoute.
Et je me fais mon petit film à moi, dans ma tête.
J’espère que vous captez un peu ce que je veux dire dans ce billet, et que de vrais musiciens ne viendront pas se payer ma tête :D Cela dit s’il y a un terme précis pour décrire ce « thème » qui me fait tant frémir de plaisir, je suis toute ouïe (oui ?) !
Et vous ? Y avez-vous déjà réfléchi ? Est-ce un style musical qui vous interpelle ? Vous indiffère ?
20:47 | Lien permanent | Commentaires (12)
12/12/2008
Décès d'une icône
Juste un petit mot, car je le découvre tout juste.
La très célèbre pin-up américaine des années cinquante, Betty Page, qui a fasciné plus d'un homme et inspiré plus d'une femme (dont mon idole Dita Von Teese), est décédée jeudi 11 décembre des suites d'une attaque cardiaque, à l'âge de 85 ans.
15:01 | Lien permanent | Commentaires (4)
10/12/2008
Le sens de la démesure
(en Indonésie)
J’avais promis à certaines d’entre vous il y a déjà quelques mois (i’m soooo sorry) de vous parler un peu de mon bled.
Les récents articles de Facehunter m’ont redonné envie de vous montrer un petit peu de mon chez-moi.
Eh oui ! J’ai vécu à Jakarta en Indonésie pendant une bonne dizaine d’années, j’y retourne encore régulièrement et j’espère que je continuerai à y aller encore de nombreuses années.
Jakarta, c’est un peu ma ville d’adoption. Je ne suis pas bilingue et pourtant le bahasa indonesia est ma langue. Je ne suis pas indo, et pourtant l’Indonésie est mon pays.
Je me sens, après 6 ans passés dans la capitale des Gaules, bien plus jakartanaise que lyonnaise. (c’est marrant, je n’ai jamais su comment on disait… D’ailleurs je doute qu’il y ait un nom officiel en français pour appeler les habitants de cette ville)
Cela fait beaucoup rire certains de mes amis, dont l’appartenance affective à ce pays est appuyée par une appartenance génétique, ce qui n’est pas mon cas. J’aurai bien aimé pourtant !
Peut-être ne suivez-vous pas les aventures de Mr Facehunter, qui en ce moment réalise un de mes vieux fantasmes : il est à Jakarta ! (merci les émeutes à Bangkok, sinon il n’y aurait jamais mis les pieds !)
Voici les quelques photos prises des looks dans la rue.
Une caractéristique de l’Indonésie, c’est leur amour pour la démesure. Dans tous les domaines. Il faut que tout soit grand, clinquant, bling bling, tape à l’œil et démesuré.
Dans les fringues :
Dans les centres commerciaux (qui pululent tous les km) :
Ici, Taman Anggrek (le « jardin des orchidées »), dont le socle est composé de 6 étages de commerces de luxe, une patinoire, un cinéma, et dessus sont posées une dizaine de tours de résidences et de bureaux, avec des cours de tennis, des salles de sport, des jardins…
Pondok Indah Mall 1, 3 étages qui a récemment reçu une greffe d’un autre mall de la même taille de l’autre côté de la rue, reliés entre eux par des passerelles d’une épaisseur de 2 étages, remplies de commerces elles aussi. (Ca fait deux centres commerciaux reliés entre eux, tous deux 2 fois plus grands que PartDieu)
Dans les extravagances architecturales :
Et aussi dans les distances !
Autant vous dire que quand je me suis retrouvée à Lyon, ça m’a fait bien drôle !
La taille des bâtiments… La taille de la ville… La sobriété de ses habitants… (et aussi leur côté maussade et peu accueillant, très différent des indonésiens)
Moi, je dis, heureusement qu’il y avait H&M, le métro et les bugnes, parce que je pense que j’aurai vite fini par faire une bonne dépression !
Enfin bref, j’aime ce pays, j’aime Jakarta, c’est mon patelin, c’est mon bled, bien plus que ma ville natale française, et j’ai vraiment hâte d’avoir un peu de temps pour y retourner (mes chats m’attendent depuis 2 ans que je ne les ai pas vus !! (bon et mes amis, aussi)) !
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Je réponds à 2 tags que je n’ai pas eu le temps d’honorer, celui de Colaly qui m'a remit ce prix (merciiiii !) :
Le règlement :
1. Mettre le logo
2. Mettre le lien de la personne qui vous l'a décerné
3. Désigner 7 autres personnes et mettre leurs blogs en lien.
Alors moi j’aime les blogs d’ Aava, Liloo, Margaux, Mademoiselle C, Alicesprings, AfroK, et CamilleFraise.
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Et celui de Romain, qui m’embête un peu parce que je suis vraiment trop cultivée… (:D) :
Un questionnaire sur l'inculture mis en chaine par Superflu et qui consiste à étaler son inculture dans les catégories cinéma, livres, géographie, mathématiques et nourritures et boissons… (ça va saigner)
Je taggue les demoiselles du dessus qui auront envie d’y répondre ! (Aava, Liloo, Margaux, Mademoiselle C, Alicesprings, AfroK, et CamilleFraise.) (et hop, un deuxieme lien pour vous !)
A vous de la faire suivre à au moins trois personnes.
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Niveau Cinéma : J’ai pas accroché à The Big Lebowski, qui paraît-il est trop super génial une référence mondiale de l’humour indé américain. Mouais. Par contre, j’ai adoré le Bal des Vampires de Polanski, que tout le monde dit que c’est un navet. (et plein d’autres navets que j’ai adoré aussi) Et que dire des classiques tels que les films de Gus Van Sant ou Lynch, devant lesquels je m'endors...
Niveau Bouquins : le jour où je lirai un classique comme les Zolas, les Sastre, Proust et compagnie, les poules auront les dents qui poussent. Et je continue d’idolâtrer Amélie Nothomb que tout le monde trouve commerciale.
Niveau Géo : bah la géo, ça passe encore, j’ai pas trop de problèmes (l’expatriation, ça aide, au moins à ce niveau-là), c’est surtout l’histoire, qui laisse à désirer, par exemple je ne sais toujours pas ce qui s’est passé à Waterloo… Et la politique, je ne vous raconte même pas, vous rigoleriez. (« Elle fait quoi, comme boulot, déjà, Rachida ? »)
Niveau Maths : hin hin hin… Vous arrivez à calculer de tête 17+24, vous ? Pas moi, je dégaine mon portable… En maths, c’est sûr, je ne suis pas une vraie brune… Dire que je fais de la gestion cette année !
Niveau bouffe : Mon père est féru d’œnologie et un grand cuisinier, alors parfois dans ce domaine j’ai pas intérêt à me gourrer. Cela dit il lèverait les yeux au ciel s’il savait que je haaaaiiis par-dessus tout le foie gras (ah bon, faut pas l’étaler comme du pâté ??), que j’aime bien le Muscador (:D), que les cailles cuisinées ça pue le vomi, que j’aime bien mettre du sirop dans le bon champagne (attention, à la maison, on ne boit jamais de la piquette) et qu’un petit macdo de temps en temps ça fait du bien par où ça passe…
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Je vous parlais de démesure, j’avoue mon billet en tient une couche. Allez dès que je récupère mon trépied, je vous fait un billet de fille, promis.
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… Je vous laisse, je retourne à ma fenêtre, il neiiiige !!
12:58 | Lien permanent | Commentaires (12)
08/12/2008
Pas d'entorse aux apéros pendant la Fête des Lumières
On m'a piqué mon trépied.
Peux pô vous faire de photos de modasse aujourd'hui, comme prévu.
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Vous savez je suis lyonnaise. Et quand on est lyonnaise, qui plus est bloggeuse à temps partiel (soyez pas mauvaises langues, je suis là plutôt régulièrement, quand même !), ben on va aux apéros-blogs.
Si t'es lyonnais et bloggeur aussi, tu es cordialement invité, j'ai remarqué qu'ils aimaient bien voir de nouvelles têtes. A condition que les nouvelles têtes s'adaptent vite (faut suivre, parfois :D ). Un mojito à la main, du fromage dans la bouche, et une histoire de cul, moi c'est la méthode que je préconise, et ça marche plutôt bien. Ou ptet juste que c'est parce que je suis pas chiante, mais les apéros se passent toujours bien (enfin j'exagère je ne suis allée qu'à deux apéros, la prochaine fois ce sera peut-être la totale débandade (aucun jeu de mot, merci)...:D)
Bref, j'avais fait péter la robe Deby Debo, que maintenant toutes les glamourettes de CarolineDaily ont. (celui qui dit que je la porte vachement mieux que toutes les autres, je lui offre un cadeau, j'ai besoin de compliments, là)
(non je déconne)
(pour le cadeau, pas pour les compliments)
Je ne vous fais pas de résumé, je ne suis pas restée assez longtemps, juste le temps de croiser Silphi, Camille Fraise et son mari (qui l'aime tellement qu'elle est beeeeelle :D), Cam d'Essayage et son photographe (qui n’a pris que des photos où je suis affreuse et sur lesquelles j’exige un droit de veto), Myrtille, Jahzz, La Fée, un monsieur de chez Wikio qui n'a pas voulu trifouiller mes stats pour que je ne suis plus 24000e au classement (même que j'ai oublié son nom et toc!), et d'autres personnes que je ne connaissais pas (et je veux bien ajouter votre lien si vous en avez un et que vous passez par là)...
Enfin juste assez longtemps pour 2 mojitos, quelques tranches de pain et fromage, et des conversations très sympas comme à l'accoutumée ! J’aime bien, moi, rencontrer des gens, il me faut certes 6 mois de préparation physique et mentale (autiste je suis), mais après je suis toujours enchantée.
Je vous conseille de lire au passage l’article fort bien écrit de Jahzz (qui croit que je suis une gothique refoulée et qui est déçu que je n’ai pas porté les Melissa :D)
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Bon et puis, je fais mon résumé de la Fête des Lumières 3 semaines après la bataille (encore ce soir pour ceux qui n'ont pas eu le temps ce week-end).
J'ai trouvé que cette année, ils ne s'étaient pas foulés sur certains lieux... Je me souviens en 2004 (il me semble), comme ça avait été génial, tout le monde s'émerveillait... C'est con, mais je trouve que ça s'essouffle, et c'est vraiment dommage, car j'ai des amies nouvellement lyonnaises qui ont refusé d'y aller juste parce qu'on leur a dit que l'année dernière c'était nul (cela dit en passant, j'avais bien aimé, moi, les quais du Rhône c'était trop chouette, l'Hôtel Dieu super sympa)...
M'enfin les 5 millions de touristes prévus étaient bien là, hein...
Enfin, je garde mon âme d’enfant, et Lyon, à la période de Noël, pour moi, c’est toujours la fête ! Le vin chaud, les marrons, le marché de Noël, et surtout, les lumièèèères !
(ne dîtes pas à ma mère que j’ai oublié les lumignons à ma fenêtre cette année, c’est une tradition familiale, elle me tuerait :D )
Bref, J’AIME.
Bref, à part quelques malencontreuses mésaventures, dont une qui m’a valu une entorse aux DEUX chevilles et une partie de la nuit au commissariat, et que je vous raconterai certainement prochainement dans un coup de gueule contre les flics, ce fût un week-end ma foi rocambolesque et … interessant.
La bise et à demain (et demain je vous parle de mon pays, loin, loin, là bas).
PS : les gens, si je me suis plantée dans les liens, vous pouvez me le dire ?
2e PS: je suis d'avis d'organiser un concours du titre le plus pourri...
17:10 | Lien permanent | Commentaires (5)
04/12/2008
Modasseries du jeudi
Bonsoir bonsoir !
Ca faisait longtemps que je n'avais pas parlé de modasseries sur ce blog, non ?
Je trouve aussi !
Mais bon, j'ai du boulot sur la planche, alors je passe vous en parler vraiment en coup de vent.
Vu sur Asos aujourd'hui :
Cette veste en cuir drapé que je trouve sublimissime :
Et qui coûte un bras... Enfin en considérant que votre bras comme le mien coûtent la bagatelle de 360 euros.
Si comme moi vous flashez sur cette veste (en vrai je vous dis qu'elle est divine, croyez-moi), je vous conseille d'aller très très vite faire un tour chez Zara, avant qu'elle soit raflée par toutes les bloggeuses de mode. Car elle coûte juste 99 euros, pour exactement le même modèle, peut-être même mieux coupé !
A part ça, j'ai reçu, après quelques mois (entre temps j'avais complètement oulié !) le fameux mascara Exceptionnel de Chanel.
Mlle Trendy Mood en a fait un test, allez le lire, et si vous l'avez reçu dites moi ce que vous en pensez. Moi je trouvele concept de la brosse sympa quoique mes cils restent coincés dedans et que ça fait... mal. Un chouilla trop de produit, un geste pas si facile que ça à adopter, ce qui fait que ce matin je suis repassée derrière avec mon peigne Deborah.
Cela dit, il allonge vraiment et étoffe, c'est indéniable !
Et enfin, une dernière info pour la route, j'ai reçu ma robe Deby Debo ce matin (après quelques ventes ebay, j'ai enfin pu me l'offrir !). Elle comble toutes mes espérances, encore plus belle en vrai qu'en photo sur le site...
Je vous poste un tite photo toute moche parce que je trépigne de vous la montrer et je vous prépare d'autres photos un peu mieux (le minimum syndical de la beauté de la photo étant loin d'être atteint par celle-ci :D ) pour... un de ces 4.
17:20 | Lien permanent | Commentaires (13)